Fin du chapitre de Pointe-Claire – Le café Victor Rose

Un jour, une mère et sa fille, Terry Taylor et Marie Rose toutes les deux mes clientes de la pharmacie du village de Pointe-Claire décident d’ouvrir un café, le Victor Rose, ainsi nommé en hommage au grand-père.

L’autre grand-père, David Taylor et sa conjointe, Margaret Rose sont aussi mes clients. (J’ai découvert au hasard de nos conversations que David, courtier d’assurance aéronautique assurait les appareils de Air Alma, l’entreprise de mon oncle Roland et était son grand ami. «I was the only anglophone at Roland’s and Cecile’s 60th wedding anniversary» qu’il m’avait dit avec ses yeux pétillants).

Dès son ouverture, le café est devenu un succès boeuf. On y rencontre des gens qui viennent de Pierrefonds, Dollard-des-Ormeaux, et d’ailleurs et bien sûr de Pointe-Claire. Olga, l’ancienne propriétaire de la friperie du village qui m’appelle son «petit docteur», Candace Seniw, mon amie, voisine, et qui m’a tant aidé dans la création d’un de mes projets pour l’AQPP, Corinne, Josée Jo Madore de Kiva et tant d’autres.

Si Terry et Marie n’y sont pas, vous verrez Leslie Taylor la soeur de Terry, Kelly, Xavier Madore ou Fabienne et vous serez servi avec la même ferveur.

Un iPad, des écouteurs, ma musique et la grande fenêtre qui donne sur la rue Cartier, et leur excellent café (Même Massimo Pesce est d’accord, c’est vous dire….? ont été mon médicament, celui qui fonctionne vraiment.

Et chez Victor Rose, si vous avez oublié votre argent, vous pourrez toujours mettre votre café sur le «I owe you».

Parce que de toutes façons, si vous y allez une fois, vous y reviendrez c’est sûr!