«Les femmes ont été historiquement exclues de la participation à la recherche en partie en raison de l’hypothèse que les fluctuations hormonales ovariennes entraînent des variations, en particulier dans l’émotion, qui ne peuvent pas être contrôlées expérimentalement.»

«Il peut y avoir des différences entre les sexes dans les facteurs qui influencent les émotions, comme les hormones ovariennes, mais ces facteurs ne produisent finalement pas des résultats différents en ce qui concerne la variabilité affective. Les scientifiques biomédicaux, neurologiques et sociaux sont encouragés à ajuster leurs priorités conceptuelles et statistiques en conséquence.»

nature scientific reports