Aujourd’hui, c’est le jour où je dis «sayonara Facebook». Quatre ans après la grande purge où j’ai flushes 400 «ami.es», 3 ans après le rapport du Guardian, puis maintenant avec Instagram et la santé mentale des jeunes filles, that’s it. Je considère que de laisser mon compte ouvert, même si je suis inactif, aide Facebook à engranger encore plus de profits. Un peu comme investir dans les fonds qui investissent dans les cigarretiers, s’acheter un pipeline mais marcher pour la planète ou écrire des poèmes sur la paix et travailler pour un trafiquant d’armes.

Autres articles:

Aux Philippines: The Guardian