Aujourd’hui, dans un texte tel qu’on les lui connaît, Maxime annonce qu’il vend ses parts dans la pharmacie qu’il possédait.

J’ai connu Maxime quelques temps après avoir amorcé un projet de santé connectée au groupe Uniprix en 2015. Maxime m’avait alors affirmé avoir des craintes sur la façon dont le projet se déclinait et proposait une approche différente.

Du haut de mon égo, j’ai quand même réussi à déceler ce quelque chose qui vous dit que la personne qui est en face de vous, vous dit ce qu’elle dit parce qu’elle le pense vraiment. Que ses motivations sont les bonnes et que peut-être un jour, vos chemins se croiseront à nouveau et que vous pourrez édifier quelque chose qui va aller dans le bon sens. Celui où on fait du bien, où on a l’impression d’être un coach, ou le sourire, le regard dans les yeux, la poignée de main «sont» le médicament.

Aujourd’hui, Maxime devient membre de la communauté des «pharmaciens-sans-pilule», cette confrérie dont la dénomination vient de mon mentor et ami, Jean Lefebvre, ancien doyen de la Faculté de pharmacie de l’Université Laval.

Je suis content pour toi Maxime. Et je te remercie pour ton humanité, celle qui nous aide à aider. Celle qui aide à faire grandir notre profession, à redonner la dignité aux personnes qui ont besoin de notre aide, à les considérer pour ce qu’elles sont et non ce qu’elles «ont» comme maladie. Celle qui nous aide à faire le bien et faire du bien.

Bienvenue dans ton nouveau chapitre!

Affectueusement,

Roger (membre de la confrérie des «pharmaciens-sans-pilule» 🙂