«Être un Beyonder, ce n’est pas être le meilleur au monde, mais être le meilleur pour le monde»

Herman Van den Broeck et David Venter

C’était au Savignon en 2015. J’étais en plein dans mon projet Pharmacie 3.0. Il y avait eu le reportage des Années-lumières, Banc Public et Découverte. Je trippais.

Xavier Olleros, le professeur de l’UQAM m’avait contacté pour me demander si sa candidate au doctorat pouvait utiliser mon projet pour sa thèse. Quand il est venu au Savignon pour rencontrer certains des participants au projet, il m’avait confié que j’étais un beyonder. Trop occupé à serrer des mains et parler avec les Jules, Claude, Robert, et Huguette, je n’avais pas vraiment compris de quoi il s’agissait.

Il y a deux ans, j’ai lu l’article de Van den Broeck et Ventner et je me suis rappelé de notre conversation de l’époque. En cherchant, je suis même tombé sur un article du professeur Olleros sur le Beyonder.

Et à lire la définition qu’en font Van den Broeck et Ventner, le professeur Olleros m’avait fait tout un compliment:

«Ce que nous appelons « Beyondership » est le résultat de l’interaction entre sept caractéristiques de leadership distinctes :

une vision profonde,

un penchant vers le positif,

une tendance à soutenir l’épanouissement du nouveau,

le courage d’être une minorité,

être porté par la passion et la discipline,

l’humble audace…

… et ce que nous appelons la « danse de votre ombre », que nous décrivons en détail dans cet article. En tant que tel, le modèle Beyonder contient sept miroirs dans lesquels vous pouvez réfléchir sur vous-même et réfléchir à la manière d’améliorer vos compétences en leadership.»